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STRATEGIE 2022

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Posté le 24/12/2021 10:27:53
Ok donc on a simplement un impact sur un besoin éventuel de financement à CT export ainsi restons sur l’orientation du malus de -8 % sur le 1/3 des sociétés totalement / partiellement exportatrices les plus faibles en volume de vente pour le moment ouf 😥 je préfère ça
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Posté le 24/12/2021 10:21:14
non khalil pas de tva sur le CA a l'export,
la tva est pour les acquisitions "annulation des achats en suspension par les bons de commande visé"
(achat avec tva 19% et vente a l'export hors tva) donc un crédit de tva va etre généré ..., et la procédure de réstitution prend becaup du temp...

Message complété le 24/12/2021 10:22:54 par son auteur.

beaucoup*

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Posté le 24/12/2021 10:09:30
Oui moi aussi cette baisse pour compenser les nouvelles taxes sur les sociétés totalement exportatrices et l’éventualité d’un retours à des financements CT engendrant de nouveaux frais financiers me paraît très difficile donc paradoxalement on peut envisager (ce n’est qu’un scénario) en volume une baisse de la rentabilité des sociétés totalement exportatrices (soit le dinar doit être dévaluer pour doper leurs marges afin de couvrir les nouveaux frais soit elles doivent générer en volume plus de ventes afin de maintenir leurs résultats en absorbant ces nouvelles charges)
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Posté le 24/12/2021 10:05:48
JE PENSE ABSOLUMENT PAS A UNE T ELLE DEVALUATION POUR 2022 DU DINAR MAIS A UNE STABILITE ET MEME REPRISE DE COULEUR
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Posté le 24/12/2021 10:04:14
@ANALYSETGH2021 : je t’en prie d’ailleurs si tu as des idées ou des orientations stratégiques pour l’année prochaine c’est l’occasion elles sont toutes les bienvenues (il n’y a pas de mauvaises idées et comme tu peux le lire l’air de rien ça va pas être évident de se positionner pour 2022)
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Posté le 24/12/2021 10:01:53
Donc en gros l’application du taux général en termes de TVA : 19 % + éventuellement le recours à des financements exports CT : 8 % et de l’autre côté la dévaluation du dinar par rapport à la devise de facturation donc vu que la parité USD / TND est à 2,87 dt environ là on table sur 3,64 environ et la parité EURO/TND étant à 3,26 on table sur 4,14 …. bon lol y a de quoi avoir des doutes à présent sur la fiabilité de se positionner sur les sociétés totalement exportatrices car même si le contexte est très difficile cela revient à retenir le scénario d’une dévaluation supperieures à 27 % du dinar tunisien contre l’euro et le dollars courant 2022 ça c’est pas évident je trouve
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Posté le 24/12/2021 09:56:13
JE TE REMERCIE BEAUCOUP
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Posté le 24/12/2021 09:54:48
@SOKI714 :: Donc dorénavant les sociétés totalement exportatrices seront soumises à la TVA autant sur leurs opérations locales que sur l’export sachant qu’il y a 4 régimes de TVA (bon celle des produits de luxe j’ai oublié le taux) mais pour le reste on a 19 % / 12 % et 7 % cela impactera de façon conséquente leurs ventes donc décidément faire un panier orienté vers les dividendes yield élevés en mélangeant les sociétés totalement exportatrices en jouant sur l’effet de change pour compenser les impacts de la LF2022 et des entreprises partiellement exportatrices et exposées au marché local est bien plus prudent pour 2022 on dirait bien
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Posté le 24/12/2021 09:48:27
@lassou416 : donc au niveau de SAH on peut s’attendre à une baisse des ventes et également une baisse des marges ? Pourtant le profil de la société me plait bien en termes de valorisation plancher tu l’estimes vers combien en incorporant ces éléments ? Il y’a une bonne exposition à l’export dessus , la taille de la structure est aboutie et les perspectives demeurent intéressantes sur le LT
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Posté le 24/12/2021 09:47:11
a part les charges financier meme les fonds a distribuer "dividendes" vont posé un probléme...
espérons bien l'annulation de cette disposition dans la version finale de la LF2022 car elle pose un vrai probléme pour les societes exportatrice...

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Posté le 24/12/2021 09:44:57
pour SAH il y a regression severe des ventes des nouveaux produits de détergent après lancement . il faut etre prudent

Message complété le 24/12/2021 09:45:42 par son auteur.

defaut de rapport qualité/prix

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Posté le 24/12/2021 09:44:47
@Xenon : en fait comme ils importent beaucoup de matière première les coûts vont augmenter et comme ils ne pourront pas les répercuter sur le consommateur final cela va impacter également leur marge nette et donc leurs bénéfices. Concrètement cela revient à considérer que les sociétés qui ont besoin d’importer leur matière première et/ou produits semi-finis vont supporter un surcoût ce qui va rogner leurs marges. Est ce que cela réponds à ta question ? (Tu ne me l’as pas poser directement mais si j’ai un début de réponse autant te le communiquer)
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Posté le 24/12/2021 09:41:28
Epctutis sah et sotioapier ton exemple je ne l'ai pas compris par rapport à la MP? Merci d'expliquer pour moi
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Posté le 24/12/2021 09:39:23
@epctitus : entendu dans ce cas je vais également les classer par volume et ce malus ne concernant que 1/3 des sociétés qui auront en volume le CA le plus bas à l’export donc -8 % sur la réalisation totale des ventes à l’export cette approche me plait car cela permet également de favoriser les sociétés générant le plus de volume à l’export et donc celles qui seront le moins impacter par cet aspect de la LF2022 bien entendu il s’agit d’une ébauche d’approche que l’on améliorera au fur et à mesure 📐 d’ailleurs si tu perçois d’autres éléments pénalisant les sociétés totalement exportatrices via la LF2022 il ne faut pas hésiter à le mentionner cela nous permettra d’améliorer le scoring final.
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Posté le 24/12/2021 09:25:34
Pour les exportatrices c'est du cas par cas certaines n'ont pas besoin de s'endetter tellement elle génére du cash et certaines n'importe pas de MP....enfin il faut voir la LF 2022 en détails...c'est les petites sociétés qui seront impacté
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Posté le 24/12/2021 09:16:29
@SOKI714 : ça marche bon en premier lieu on va dresser un état puis on va incorporer ces critères et au niveau de la réalisation des ventes pourquoi pas intégrer un petit malus représentant ce surcoût financier : le recours à des financements CT à l’export donc en règle générale coût de financement (3 %) + marge de la banque (3 %) + marge de sécurité pour l’estimation disons 2 % donc malus de - 8 % qu’est ce que tu en penses ?
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Posté le 24/12/2021 09:10:34
khalil1 merci pour ce partage...
tu dois prendre en considération l'annulation d'achat en suspension pour les socité exportatrice prévu par la lois de finance 2022. il va dimunué la liquidité et le fond de roulement car la réstitution du report de la tva va prendre becaup de temps.

je pense que les société exportatrice vont étre obligé a s'endete meme a cour terme pour couvrir ses dépenses
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Posté le 24/12/2021 08:57:04
Comme les années 2020/2021 ont été impactera en termes d’export par la crise COVID je vais retenir la répartition des ventes de l’année 2019 et segmenter en fonction des devises de facturation euro ou dollars US pour avoir également une ventilation en termes de devises à l’export mais il faudra également prendre en compte les évolutions conjoncturelles et réfléchir à un scénario probabiliste est ce que la tendance des ventes à l’export va se maintenir ou y a t’il une possibilité que le volume des ventes se tasse voir décroît puis sur chaque scénario on appliquera une pondération .
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Posté le 24/12/2021 08:51:22
Bon pour la ventilation action je vais faire des recherches pour déterminer les proportions en % de ventes des sociétés à l’export et sur le marché local puis le dividende prévisionnel de chacune puis les valorisations actuelles et enfin les projets en cours sur les 5/6 ans qui viennent et/ou les projets qui ont été clôturer courant 2021 et non encore intégrés dans l’aspect financier dessus ce sera une bonne base de travail.
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Posté le 24/12/2021 08:44:53
D’ailleurs quand j’y pense si on mise également sur la hausse des taux impactant les obligations en anticipant l’exacerbation de l’inflation en y réservant 20 % du portefeuille CEA 2022 ça donne en termes de structure : 20 % BTA + 20 % actions à croissance /spéculatives + 60 % actions à dividendes dont 58,5 % (pour que cela corresponde à 35 % de la pondération du portefeuille global) de sociétés totalement/majoritairement exportatrices et 41,5 % de sociétés partiellement exportatrices/exposées à l’économie nationale. L’air de rien ça me paraît excellent comme ventilation reste plus qu’à déterminer les sociétés en question (voir réflexion 2 que bien sur ensemble nous allons approfondir).
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