Posté le 22/12/2017 15:05:32
Justement, il y a conflit d’intrret Avec l’ctionnaire principal avec un risque de transfert de marge. La société ne maîtrise pas son approvisionnements, une situation qui manque d’en transparence et qui prive la société des elements clefs de sa propre performance. Nous sommes concerné par la situation de SOPAT, les intérêts du groupe n’engagent pas les petits porteurs.
Pour les points de vente Mliha, ils sont en gérance libre, la marge de distribution et constatée au niveau des points de vente et n’affectent par conséquent pas la rentabilité d’en la SOPAT. Le seul impact économique étant le chiffre d’affaire qui doit augmenter en fonction des points de vente, mais la question est si ce chiffre d’affaires est accompagné par une rentabilité quelconque ? Deuxième remarque, les points de vente sont autorisés à vendre les produits des autres marques, vous pouvez le constater vous même sur le marché. Donc l’impact sur l’entrée chiffre d’affairss N’est pas aussi certain que ça.
Troisième remarque concernant le marché du vif. Aucun gouvernement depuis plus de 10ans n’a réussi à appliquer là loi à ce sujet. Il ne faut pas s’attendre à un changement vu le contexte social et économique, toute intervention risque de causer la faillite des petits mais très nombreux éleveurs.
Le principe de la bourse étant d’ssocier les intérêts des PP à ceux des animateurs de ou des sociétés. Cette association est difficile dans le cas des groupes d’affaires vu que les chaînes de valeur sont complexes et généralement assurées par plusieurs sociétés en parallèle. C’est la raison pour laquelle il faut se positionner sur des Holding qui regroupent toute l’activite. Dans le cas contraire, les PP dépendent de la bonne foi des actionnaires principaux, et la bonne foi et la confiance ne suffisent pas pour investir en bourse.