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Pour comprendre ce qui se passe réellement dans notre bourse, laissez de côté l'IA et l'IFRS et autres standards et concentrez vous du côté du CECT (la Cupidité et l'égoïsme Criminels du Tunisien). On n'a pas besoin de recourir à la philosophie ni à la technologie pour expliquer certaines réalités évidentes.
Message complété le 17/06/2024 15:18:21 par son auteur.
ce qui a causé les problèmes des banques publiques ce ne sont ni les BTA, ni l'engagement de l'OCT ni les engagements des entreprises publique. ce qui a mis ces banques au bord de la faillite c'est les crédits dits "rentables" accordés aux privés de la trempe des "Ben Ayed" et "Samama"
PNB même si il continue ça chute ça ne pose pas problème la baisse du PNB est expliqué la politique prudente de la banque, le PNB peut Augmenter pour un titre est réaliser un résultat négatif est ce n'est pas le cas de la STB, en ce qui concerne les provisions ils vont chuter sure et certains
L’ifrs ness kol 7ket 3liha et il y en a qui sont déjà passés à cette norme
Et depuis : je pense que la majorité des investisseurs institutionnels l’ont intégré dans leurs prévisions
Pour la Stb : pas sûr que les provisions vont baisser => voir les réserves du CAC
Mais c’est sûr que le pnb va continuer sa chute
Message complété le 17/06/2024 15:00:08 par son auteur.
Les BTA sont moins risqués (pour l’instant) mais ils rapportent moins qu’un crédit classique ou qu’un investissement autre que BTA
Behi barcha kif l'ifrs après toute une année wenti tkhawef beha fines tawa Elle pose plus problème c'est déjà bien.
Pour BTA 7kina feha barcha mais fama 7aja ma7kitech 3leha c'est que les provisions vont chuter surtout pour la STB
L’ifrs est déjà intégré dans le cours
Son impact est ponctuel et purement comptable
Aucun impact sur l’exploitation
Par contre la dette publique et le risque qui va avec a un impact moyen long terme
Sur le court terme ikawrou bi les adjudications mais sur le moyen terme dès qu’il y aura un manque de liquidité sur le marché : ça va tomber comme un château de carte
Ils sont juste en train de repousser le problème (kabous Hedha 3le rass hedha)
Wa9et yousel pf investissement 100% BTA et emprunt national inchoufou chnowa bech ya3mlou
En attendant : zéro crédit pour l’immobilier
Zéro crédit pour les investissements
Ils veulent relancer l’économie bil bass
Ils assèchent les liquidités pour payer les fonctionnaires
S'il y a un impact négatif des BTA ça sera sur les banques privées qui financent l'état tmm+intérêt..
Tawa l'état elle prend de l'argent directement de toutes les banques et cette argent provient essentiellement des comptes non rémunérés et de l'épargne des clients, BTA 7aja khar9a Lil 3ada et toutes les banques privées ou publiques y participent..
Arj3ilna l'ifrs peut être 3andek matmachmech surtout pour les banques privées khater ça sera que du bénef pour le publique sous évalué
Voici le détail de l’analyse de l’IA :
Stabilité monétaire : En se finançant via les BTA, l’État tunisien a évité la création monétaire excessive qui aurait pu résulter en inflation. Cela a contribué à maintenir la valeur du dinar et à éviter une dévaluation rapide.
Transfert de risque : Le choix de transférer le risque vers les banques publiques peut être vu comme une stratégie pour protéger l’économie globale. En cas de défaillance, il serait plus gérable de restructurer les dettes des banques publiques que de gérer une crise monétaire nationale.
Diversification des sources de financement : L’utilisation des BTA permet à l’État de diversifier ses sources de financement et de ne pas dépendre uniquement de la Banque Centrale, ce qui pourrait être interprété comme une stratégie prudente.
Gestion de la dette publique : Cette stratégie peut être considérée comme une gestion proactive de la dette publique, où l’État cherche à minimiser les coûts de financement et à gérer les échéances de manière plus flexible.
Responsabilité des banques publiques : Les banques publiques ont la responsabilité de gérer les risques associés à leurs investissements. En investissant dans les BTA, elles doivent évaluer et gérer ces risques, ce qui peut renforcer la discipline financière.
Il est important de noter que, bien que cette stratégie puisse présenter des avantages à court terme, elle comporte également des risques significatifs à long terme, notamment l’augmentation de la vulnérabilité des banques publiques et l’impact potentiel sur la stabilité financière du pays. Il est donc crucial de continuer à surveiller et à évaluer l’efficacité de cette approche au fil du temps.
Pour valider la thèse que vous avez présentée, voici quelques chiffres et références qui pourraient être utiles :
Valeur des Bons du Trésor Assimilables (BTA) : Selon les chiffres publiés par la Banque centrale de Tunisie (BCT), les BTA ont atteint une valeur totale de plus de 24 milliards de dinars. Cette augmentation est principalement due à la hausse des BTA à court terme.
Évolution des BTA : Les BTA ont connu une évolution significative, passant de 20.736,4 millions de dinars en mars 2022 à 24.867,7 millions de dinars en mars 2023, soit une augmentation de 19,92%.
Part des banques dans l’encours des BTA : Les banques tunisiennes détiennent 61% de l’encours circulant des bons du trésor contre 65,5% en 2021. Elles détiennent également 45% de l’encours des emprunts nationaux au 31 décembre 2022 contre 24,8% à fin 20213.
Ces chiffres montrent que l’État tunisien a effectivement utilisé les BTA comme moyen de financement auprès du secteur bancaire, ce qui pourrait confirmer la stratégie décrite dans votre thèse.
Les arguments c’est l’intelligence artificielle qui les a donné 🤪
Moi je lui ai donné les options et j’ai demandé les avantages et inconvénients
Et s’est basée sur les données de la banque mondiale et la BCT ansi que des articles de presse pour faire l’analyse
Ya elninja ma9wek comment tu trouve des arguments même si se sont des arguments bêtes destinés au gens bêtes... Tu comptes tjrs sur le proverbe yemchi jafel wiji ghafel, mais tawa fama ken ejafel wilfeya9 donc il est temps que tu changes de stratégie pour spéculer
Le financement des Bons du Trésor ne dévalorise pas le cours de l'action en bourse. Toutes les banques sont engagés avec l'Etat en BTA au 30/6/2022 la BIAT vient en tête de liste devançant la STB, la BNA et les autres . ça n'a rien à voir. Ils nous prennent pour des cons et essayent de nous convaincre par des argument qui ne tiennent pas debout
Depuis quelques années, nous assistons à la castration des banques publiques et à l'essor fulgurant des banques privées, qui sont en train de rafler tout le potentiel du marché, alors que les banque publique sont réduits à réduire leurs niveaux d'engagements et ce n'est pas par manque de ressources.
lors de l'AGO de la STB ils ont bien déclaré qu'ils ont un potentiel d'engagements supplémentaire de 4 milliards de dinars.
non il s'agit bel et bien d'une opération de sabotage. Imaginer que ce potentiel ait été utilisé à bon escient pour accorder de bons crédits avec leur impact sur les dépôts (il est démontré que les crédits créent des dépôts) quelle serait dans ce cas la structure du portefeuille de la STB et quelle serait le poids des BTA dans cette structure.
il s'agit de castrer les banques publique au profit des banques privées, autrement comment expliquer cette parodie des intérimaires qui ne décident de rien et doivent attendre l'accord du MF pour tout acte aussi bénin soit-il. la preuve a été étalée lors de la dernière AGO de la STB, pourtant partie sur une promesse ferme du CA lors de l'AGO de 2022 de distribuer un dividende conséquent cette année. Surprise, ni le CA, ni le nouvel DG intérimaire n'étaient en mesure d'honorer leur promesse, un véto sec du MF était présent.
Ils auraient pu faire ça sous forme d'une attribution gratuite sans aucune incidence sur les FP et sur la trésorerie de la banque, NONNNNN ils ne l'ont pas fait, l'objectif était de massacrer le cours de la STB en bourse qui était déjà mal en point.
Pour moi c'est une certitude et c'est criminel.
Message complété le 16/06/2024 21:18:54 par son auteur.
PS : il ne faut pas perdre de vue que La valorisation boursière constitue un critère majeur pour évaluer la taille et la valeur d'une entreprise par rapport à ses pairs. Cette valorisation est fixée par le marché selon la perception, positive ou négative véhiculée par la société et principalement à travers ses résultats, ses perspectives d’avenir et ses distributions
L’État tunisien, dans le but d’éviter une dévaluation du dinar, a opté pour une stratégie de financement qui implique un transfert de risque vers les banques publiques. En encourageant ces banques à investir massivement dans les Bons de Trésor Assimilables (BTA), l’État a pu se financer sans recourir à la création monétaire directe par la Banque Centrale de Tunisie (BCT), ce qui aurait pu entraîner une inflation et une dévaluation de la monnaie nationale.
Cette approche a permis de maintenir la stabilité du dinar à court terme, mais elle a également augmenté l’exposition des banques publiques aux risques financiers, notamment en cas de fluctuations du marché des obligations ou de difficultés financières de l’État. Les banques publiques, déjà identifiées comme vulnérables en raison de performances médiocres et d’une solvabilité fragile, se retrouvent ainsi avec un portefeuille d’investissement fortement concentré sur les BTA, ce qui pourrait affecter leur santé financière et, par extension, celle du secteur bancaire tunisien dans son ensemble.
En résumé, l’État tunisien a choisi de se financer par le biais des banques publiques et des BTA pour éviter une dévaluation du dinar, transférant ainsi une partie du risque financier à ces institutions bancaires.
Parfaitement,...
et qui n'a qu'une seule explication et qu'on cesse de nous prendre pour des cons et de se faire passer pour des lumières qui voient ce que tout le monde ne voit pas.
Une devolarisation systématique du patrimoine de l'état.
Sans accuser personne, mais je crois qu'une bonne enquête judiciaire s'impose c'est vraiment criminel ce qui se passe.
Personne ne réussira à me convaincre que ce qui se passe est clean et règlementaire, même pas les experts de la BCT. Il s'agit de dilapidation de deniers publics sans aucun doute.
Je crois que les affaires sont menées à un autre niveau.
A mes débuts de vie professionnelle j'avais demandé un crédit FONAPRA à la BNA, dossier parfait avec hypothèque supérieure au montant du crédit eh ben je me suis emmerder durant des mois.
J'ai déposé le même dossier chez BIAT, le déblocage c'est fait en moins d'un mois... C'est de l'histoire mais côté facilité je ne crois pas que grand chose a changé...
Reste les intérêts des familles et de leurs IB...
Ce qui se passe au niveau de la gestion des banques publiques à des degrés différents s'apparente à l'euthanasie
c'est de la dilapidation des deniers publics et c'est criminel
ternir l'image de ces banques sur le Marché Financier n'a de finalité que de favoriser l'essor des banque privée et de leur canaliser la bonne clientèle. obligeant les banque publiques (la BH à moindre degré en raison de l'épargne logement) a se rabattre sur les bras cassés et les clients non acceptés par les privés, en témoigne le volume impressionnant de leurs créances accrochées.
