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IFRS repercussion sur les societes cotée

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Posté le 25/04/2023 10:15:40

tkoulchi amlin stratégie, vs risque IFRS, à ton avis IFRS CC donnerait quoi ?


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Posté le 24/04/2023 22:08:34

apres l'assurance Maghrebia , c'est Ennakl qui ose et publie ses EF consolides avec et sans IFRS , et donc pour les concessionnaires le passage aux normes IFRS a l'air postif vu qu'on observe une amelioration des capitaux propres et des resultats


question , sur lequel ils vont se baser pour la distribution de div lol


NORMAL IFRS

CP avant IFRS 201 874 481 et apres IFRS 203 382 280

RESULTAT avant IFRS 42 354 705 et Apres IFRS 43 211 101


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Posté le 17/04/2023 11:34:46

c'ets ce que j'ai écrit ! en 1 phrase -)

Farhoud Farhoud

Posté le 16/04/2023 03:56:51

Je rajoutera une info : les sociétés ont été invitées depuis 2021 à présenter des EF avec IFRS et sans IFRS, et peu l'on fait.

L'IFRS serait d'application obligatoire en 2023, pour toutes les sociétés.


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Posté le 17/04/2023 09:10:43

@Farhoud : DECISION DU CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITE RELATIVE AU REPORT DE LA DATE D'ENTREE EN VIGUEUR DES NORMES IFRS :

Le Conseil du Marché Financier porte à la connaissance des sociétés cotées à la Bourse des Valeurs Mobilières de Tunis, aux banques, aux établissements financiers et aux sociétés d’assurance et de réassurance; que l’assemblée générale du Conseil National de la Comptabilité du 31 décembre 2021, a décidé ce qui suit :

 L’entrée en vigueur des normes internationales d’information financière (IFRS) pour l’établissement des états financiers consolidés, est reportée au 1er janvier 2023 au lieu du 1er janvier 2021, avec la possibilité d’une application anticipée courant les années antérieures à 2023,

 Les sociétés qui décident volontairement, d’adopter les normes internationales IFRS avant la date d’entrée en application obligatoire, sont tenues de continuer durant cette période, à établir des états financiers consolidés conformément au système comptable des entreprises.

A cet effet, le Conseil du Marché Financier, invite les institutions susvisées à poursuivre leurs démarches en vue de l’adoption du référentiel IFRS, notamment les différentes étapes prévues par le communiqué du CMF du 11 février 2020, et ce pendant la période restante jusqu’à l’entrée en

application obligatoire dudit référentiel.

Dans ce cadre, le CMF appelle les institutions concernées à fournir dans les meilleurs délais, une information mise à jour portant notamment, sur l’impact de l’adoption des IFRS sur la situation financière et la performance du groupe, arrêtées au 31 décembre 2021 et au 31 décembre 2022, et ce afin d’informer le marché sur l’impact du passage aux IFRS sur les états financiers consolidés.


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Posté le 16/04/2023 09:14:51

j'ai glaner des infos durant les AGO du secteur bancaire de l'année derniere


pour les optimistes : la reavaluation des actifs et surtout du patrimoine couvrira LARGEMENT le besoin de provision des dettes et des bails à long terme

pour les pessimistes: bon an mal an ca va bouffer de 10 à 20 % des fonds propres


l'impact sur les societes d'assurances quant à lui sera benefique au cour , cas de Maghrebia qui en appliquant les IFRS , pourra ameliorer son Benef


pas d'info pour le leasing jusqu'a present


il faudra entrer en lice avec les responsables dans les premieres AGO pour parler des repercussions des IFRS afin de donner le ton au pour les AGO à venir


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Posté le 16/04/2023 04:20:59

Concernant l'état et sa solvabilité, l'état sera indéfiniment solvable en Dinar Tunisien : BTA /BCT mobilisation épargne national ect ect...

Pour la devise c'est une autre histoire, le monitoring des engagement des banques en devise auprès de l'état serait une porte ouvert pour Fitch, S&P, pour les classer en nouvelle classe qui seraient créées pour la Tunisie D.. jusqu'à Z -).

Les banques seraient dans ce sens les plus impactées par l'application de ces IFRS.

Pour résumer, retarder l'application de ces IFRS à l'année fatidique 2023, était une bétise Tunisienne. Disons que les appliquer en 2023 est mieux que de les appliquer en 2024. au moins la dérive serait mieux controlable et rectifiable, c'est mon humble avis.

Message complété le 16/04/2023 04:24:16 par son auteur.

Pour la STB et les différents risques qu'elle présente, je pense qu'elle cumulera les provisons jusqu'à 2045 et non pas 2035.


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Posté le 16/04/2023 04:02:29

Selon ma compéhension et pour recadrer par rapport aux sociétés cotées : (peu de brevet et peu de location)

La revalorisation à la juste valeur des actifs / passif, impactera plus les sociétés les plus endettées, et pourrait même nuire à leur capacité pour accéder à la dette et fiancer leur activités.

Je ne pense pas que la taille de l'actif/passif aurait une importance, mais ce qui aurait un impact c'est la taille de la dette et la longueur des contrats.

Par exemple les sociétés ayant des contrats long durée avec l'état seraient plus pénalisées que les autres.

Par ricocher les sociétés peu endettées et qui ne travaillent pas avec l'état pourraient même se démarquer des autres (qui ont été pénalisées) puisque, finalement nous comparons les indicateurs des sociétés qui seraint impacté par l'application de l'IFRS.


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Posté le 16/04/2023 03:56:51

Je rajoutera une info : les sociétés ont été invitées depuis 2021 à présenter des EF avec IFRS et sans IFRS, et peu l'on fait.

L'IFRS serait d'application obligatoire en 2023, pour toutes les sociétés.


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Posté le 16/04/2023 03:16:19

@vous 2, merci pour cet échange,


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Posté le 15/04/2023 20:12:11

C'est pour ça que ce que je valorise le plus dans la réflexion sur les BTA c'est la fluctuation de la valeur globale du portefeuille justement : cette partie de l'actif deviendra volatile.



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Posté le 15/04/2023 20:08:59

Mais j'ai bien dis que c'était mon opinion car les dettes souveraines sont considérées comme les moins risquées car elles sont émises par les gouvernements nationaux, qui ont la capacité de lever des impôts et de réguler l'économie de leur pays. Les gouvernements nationaux sont également considérés comme étant moins susceptibles de faire défaut sur leur dette par rapport aux autres entités émettrices de dettes, telles que les entreprises ou les particuliers, car ils ont la possibilité d'utiliser des mesures telles que l'impression de monnaie ou l'emprunt pour rembourser leur dette.

De plus, les dettes souveraines sont souvent considérées comme des actifs de référence pour les marchés financiers, ce qui signifie qu'elles sont utilisées comme base de comparaison pour évaluer le risque d'autres dettes émises par des entités publiques ou privées. Cela peut contribuer à maintenir la confiance des investisseurs dans les dettes souveraines, car elles sont considérées comme étant les plus sûres et les plus fiables.

Cependant, il convient de noter que les dettes souveraines ne sont pas totalement exemptes de risques. Les gouvernements peuvent faire face à des difficultés économiques, politiques ou géopolitiques qui peuvent affecter leur capacité à rembourser leur dette, et les taux d'intérêt sur les dettes souveraines peuvent également fluctuer en fonction de l'évolution des conditions économiques et des politiques monétaires.


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Posté le 15/04/2023 19:51:09

Ah non si tu veux mon opinion là dessus pour moi les créances de la qualité la plus faible sont les créances souveraines nationales mais ce qui est intéressant c'est la fluctuation du portefeuille des BTA en fonction de la valeur au jour le jour de ces créances dans le bilan des banques au lieu de la valeur nominale.

L'évolution de l'actif des banques ne pourra plus raisonnablement s'appuyer sur leurs expositions aux créances souveraines et petit a petit les stocks de créances finiront par refléter leurs valeurs réelles.



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Posté le 15/04/2023 19:44:58

Khalil, d'apres toi concretement l Etat Tunisien est solvable à court et moyen terme ?


pare que si elles doivent estmer les creances de l OCT par exemple à leur juste valeur , une des banques sera dans la poisse


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Posté le 15/04/2023 19:34:49

@fonfon : Les différences dans l'intégration des créances souveraines dans le bilan des banques cotées en bourse en fonction des normes comptables classiques et les normes IFRS .

Selon les normes comptables classiques, les banques peuvent traiter les créances souveraines de la même manière que les autres types de créances. Cela signifie qu'elles peuvent les classer dans la catégorie des actifs courants ou non courants en fonction de leur échéance et de leur liquidité, et qu'elles peuvent les évaluer à leur valeur nominale ou à leur valeur de marché.

En revanche, les normes IFRS ont des règles spécifiques pour le traitement des créances souveraines. Selon les IFRS, les banques doivent évaluer les créances souveraines à leur juste valeur plutôt qu'à leur valeur nominale, ce qui signifie qu'elles doivent prendre en compte les fluctuations du marché pour déterminer leur valeur. De plus, les banques doivent faire une distinction entre les créances souveraines libellées dans la devise nationale de la banque et celles libellées dans une devise étrangère, et les évaluer différemment en fonction des risques de change associés.

Enfin, les IFRS exigent également que les banques fournissent des informations plus détaillées sur leurs expositions aux créances souveraines, y compris les risques de crédit, de liquidité et de taux d'intérêt, ainsi que des informations sur les garanties et les éventuelles pertes de valeur.


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Posté le 15/04/2023 19:06:26

ya Hamzaoui n maw 9olna " merci de pas spamer et seuls ceux qui ont des infos sures et non des speculations de publier"


deja que tu spames tous les autres sujets avec Servicoms , merci de laisser celui là tranquille et chehya tayba




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Posté le 15/04/2023 19:01:28

Si servicom applique les normes ifrs elle va dégager 2 milliard de bénéfices et elle va distribuer des dividendes aux troupeaux de con

N’est ce pas 3asas el forum ?!


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Posté le 15/04/2023 18:53:10

Pour les autres sociétés le point qui me paraît le plus pertinent c’est que la transmission aux normes IFRS mettra à nu la valeur patrimoniale réelle de leurs actifs que beaucoup camouflent volontairement ou involontairement.


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Posté le 15/04/2023 18:40:23

Je crois qu’il y a une obligation réglementaire pour le passage aux normes IFRS à la fin de cette année pour toutes les banques et les compagnies d’assurance. Cependant pour simplifier au niveau des banques ce passage permettra d’apprécier la valeur réelle de leurs stocks de créances car de très très loin ce sont bien les entités cotées les plus difficiles à évaluer.


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Posté le 15/04/2023 16:50:25

pour les banques ca va se jouer entre la reevaluation des actifs et des tires de participations d'un cote et celui des credits de lautre ...


comment vont etre considere les BTA et les garantis de l'etat


aussi les affaires de la BFT, BFI et Poli vont etre remis sur la talbe aussi bien que la dette OCT non materialisé par une garantie claire...


on doit demander des comptes aux AGO, les banques assurances et leasing doivent tous avoir fait des simulation à nos jour à l'image de Magrebia et doivent nosu donner des reponses


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Posté le 15/04/2023 15:06:21

Ce ne sont que des pistes de réflexion mais le sujet est particulièrement pertinent cependant il vaut mieux ne pas anticiper et procéder par comparaison entre les états financiers habituels et ceux en normes IFRS en notant les changements majeurs qui apparaissent puis chercher l'origine de ce changement

Malgré cela en lisant entre les lignes certaines sociétés vont être très avantagées .... a vous de devinez lesquelles


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