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UADH : la renaissance d’un empire automobile tunisien
D’un partenariat brisé à une bataille judiciaire
Longtemps adossé à Citroën via sa filiale Aures Auto, le Groupe Loukil figurait parmi les piliers du secteur automobile tunisien. Mais la rupture unilatérale du contrat de distribution par la marque française a provoqué un choc brutal. Entre pertes financières, emplois menacés et image ternie, l’empire bâti durant des décennies s’est vu fragilisé.
L’affaire, toujours en cours devant les tribunaux, illustre la difficulté pour un acteur local de faire valoir ses droits face à un géant international.
Une résilience stratégique
Plutôt que de se laisser abattre, le groupe a choisi la voie de la reconstruction. Ces dernières années, il a revu ses fondamentaux, rationalisé ses structures et réorienté son portefeuille de marques. L’objectif : bâtir un modèle moins dépendant d’un seul partenaire étranger et mieux adapté aux besoins du marché tunisien et africain.
UAAI, le nouveau pilier
Au cœur de cette stratégie se trouve UAAI (Universal Auto Assembly Industries), une filiale qui incarne la nouvelle ère du groupe. Spécialisée dans l’assemblage et la distribution de véhicules utilitaires, industriels et électriques, UAAI permet à UADH de remonter la chaîne de valeur et de sécuriser davantage son avenir.
Le lancement récent de partenariats avec des marques émergentes, notamment asiatiques, positionne le groupe sur des segments en forte croissance.
Vers un modèle diversifié et durable
La renaissance de UADH repose sur trois axes :
Diversification des alliances, pour éviter une dépendance excessive.
Orientation vers l’assemblage local, renforçant la souveraineté industrielle.
Anticipation des nouvelles mobilités, notamment électriques, pour accompagner la transition énergétique.
Une histoire de revanche
Si le contentieux avec Citroën appartient encore au présent, l’avenir du groupe s’écrit ailleurs. UADH entend transformer une crise en opportunité, et prouver qu’un acteur local peut rebondir en capitalisant sur ses atouts : l’expérience, le réseau et une vision de long terme.
السيد عتاب يعاني من مشاكل عديدة و اتمنى له الشفاء العاجل من كل قلبي
راك باش تهبلهم يا معلييييم
VHI préparer quelque bouteilles de verre ton naouja aujourd'hui a continué ses côtés tgh haw il veux s'assoie sur une bouteille hhh
🤣🤣🤣😂😂😂😂😂
Là c’est mieux hhhhhh
(On efface les posts ici et c’est nouveau)
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Là c’est mieux hhhhhh
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@V 6dt men 8ir ma tkasser rassek w m3aha karhba gift🎁mta3 li sbartou m3ah
Capitol academy🤣🤣🤣🤣🤣
Chkoun hethi IB jdida🤔
Magic ya mhabelna ya connaisseur ya mdhalamha hsoudi nchemha ena 🤣🤣🤣🤔🤔🫡🤗🤗🤗
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ياحسرة
كان صرحا فهوى
UADH : la renaissance d’un empire automobile tunisien
D’un partenariat brisé à une bataille judiciaire
Longtemps adossé à Citroën via sa filiale Aures Auto, le Groupe Loukil figurait parmi les piliers du secteur automobile tunisien. Mais la rupture unilatérale du contrat de distribution par la marque française a provoqué un choc brutal. Entre pertes financières, emplois menacés et image ternie, l’empire bâti durant des décennies s’est vu fragilisé.
L’affaire, toujours en cours devant les tribunaux, illustre la difficulté pour un acteur local de faire valoir ses droits face à un géant international.
Une résilience stratégique
Plutôt que de se laisser abattre, le groupe a choisi la voie de la reconstruction. Ces dernières années, il a revu ses fondamentaux, rationalisé ses structures et réorienté son portefeuille de marques. L’objectif : bâtir un modèle moins dépendant d’un seul partenaire étranger et mieux adapté aux besoins du marché tunisien et africain.
UAAI, le nouveau pilier
Au cœur de cette stratégie se trouve UAAI (Universal Auto Assembly Industries), une filiale qui incarne la nouvelle ère du groupe. Spécialisée dans l’assemblage et la distribution de véhicules utilitaires, industriels et électriques, UAAI permet à UADH de remonter la chaîne de valeur et de sécuriser davantage son avenir.
Le lancement récent de partenariats avec des marques émergentes, notamment asiatiques, positionne le groupe sur des segments en forte croissance.
Vers un modèle diversifié et durable
La renaissance de UADH repose sur trois axes :
Diversification des alliances, pour éviter une dépendance excessive.
Orientation vers l’assemblage local, renforçant la souveraineté industrielle.
Anticipation des nouvelles mobilités, notamment électriques, pour accompagner la transition énergétique.
Une histoire de revanche
Si le contentieux avec Citroën appartient encore au présent, l’avenir du groupe s’écrit ailleurs. UADH entend transformer une crise en opportunité, et prouver qu’un acteur local peut rebondir en capitalisant sur ses atouts : l’expérience, le réseau et une vision de long terme.
