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Je vous remercie pour votre aimable et précieux retour et que la chance soit Du côté de tout le monde
Espérons dans ce que le bancaire fasse preuve de résilience. Car, si le bancaire plonge, c'est toute la bourse qui en patira et il sera très difficile par la suite de redresser la situation. La forte exposition du secteur bancaire au risque souverain (état et entreprise publique), les fortes pressions sur la liquidité, l'envolée des créances Classées et l'application prochaine des normes IFRS sont autant de raisons qui dissuaderaient certes tout investisseur à prendre des risques démesurés dans le bancaire. Mais vu l'étroitesse de la taille du marché je vois mal quel titre procurera un rendement satisfaisant ( au moins égal à l'inflation) et un cours stable non volatile. Votre avis sur cette question (titres intéressants) nous sera d'une grande utilité.
Avec tout le respect que je vous dois aucun titre du bancaire notamment privé n'a baissé (hormis ATB). La baisse présumée, à supposer qu'elle aura lieu, n'est pas spécifique au secteur bancaire, elle est valable à toute la bourse. Pour s'en convaincre, il suffit de jeter un coup d'œil à la SFBT, Eurocycles, SAH, PGH. Seul SAM fait exception. Le contexte économique actuel est très délicat et n'encourage pas à investir en bourse. A la fin, il faut savoir faire un arbitrage entre un placement bancaire sûr et garanti ou un investissement en bourse incertain
Si la majorité des participants à ce forum prédisent sans aucun argumentaire sérieux qui étaye leurs analyses que les valeurs bancaires vont s'effondre prochainement, il y a lieu de s'interroger sur les raisons pour lesquelles deux parmi les plus grands groupes tunisiens s'intéressent de près à l'uib et ont récemment déclaré leur franchissement de seuil de 10%, bien que le titre en lui même ne soit pas très attractif en terme de dividendes.
Bancaire Guezezzz
Bancaire fini
Bancaire avec cnrps ou cnss possibilité d'octroi des crédits et avec la suppression des qques commissions et l'App du nv circulaire de la bct c'est Guezezzz
Bleddd wabaaad mchaouuu fijorriit ibounouk
Bancaire finiiiii yezzihom maribhouuu
Sauve qui peux surtout biat amen tijarie uib ...
https://africanmanager.com/les-bouchammaoui-et-chabchoub-montent-dans-le-capital-de-luib/
La même technique utilisée le mois de septembre semble se reproduire. Faire baisser le cours par des opérations de vente à faible volume et à prix cassé pour créér un état de panique chez les petits porteurs et provoquer un courant de vente massif au grand bonheur du repreneur potentiel de la participation de la société générale qui continue son ramassage méthodique avec le silence complice des autorités de tutelle sur l'intention de cession de l'actionnaire français. Morale de l'histoire, il faut patienter et ne pas céder à la panique celui qui a acheté il y a deux semaines pour un montant global de quatre millions avec un cours moyen de 28 TND n'est pas en train de jeter son argent par la fenêtre
Très bonne valeur plaine surprises OLA
Le franchissement de seuil de 10% du capital de l'uib vient d'être annoncé.Reste a savoir si les autorisations réglementaires exigées à cet effet dont notamment celle de la banque centrale a été obtenue. En attendant, l'ambiguite continue à entourer le processus de cession de la participation de la société générale.
Deux transactions de bloc en deux séances pour un montant global de 4,1 millions de dinars avec surtout des prix de cession supérieurs au cours boursier (28 TND et 28,4 TND). Le repreneur potentiel de l'uib semble continuer le renforcement de sa participation à un cours raisonnable et maîtrisé. Surtout avec une baisse planifiée et voulue du cours au mois de septembre de 28 TND à 22 TND. Pourtant aucune communication ou information n'est donnée depuis trois mois par la société générale concernant son intention de désengagement de l'uib, alors qu'elle a déjà cédé ses participations dans deux autres filiales africaines.il est vraiment regrettable que les autorités tunisiennes compétentes (BCT, Ministère des finances et CMF) gardent le silence et n'exercent pas leurs prérogatives pour protéger les intérêts des petits porteurs qui risquent d'être lésés et qui ont patienté durant une décennie avec la politique de non distribution de dividendes de la société générale.
