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Le président turc, Recep Tayyip Erdoğan, en visite d'Etat d'un jour en

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Posté le 26/12/2019 09:21:14
bravo elinoja que des bonnes analyses .
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Posté le 25/12/2019 17:39:38
En s’en fou de la France et la Turquie !! Ça reste des colons qui ont volé les richesses de la Tunisie et qui entretiennent les gouvernements pourris pour préserver leurs intérêts
Vous pensez qu’ils vont privilégier les intérêts des peuples ignorants arabes au leurs.
Que ce soit la France ou la Turquie, la Tunisie c’est juste 12 millions de consommateurs et quelques richesses souterraines qu’il faut dépouiller à l’aide de traîtres locaux
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Posté le 25/12/2019 17:20:15
la Turquie utilise sa langue , le turc, pas le français. les "grandes écoles" de France n'ont pas cours légal en Turquie, ni sa langue à l'heaurtheaugraaafe bordélique.
Erdogan par ses réformes, a propulsé la turquie de la 76 à la 14 eme place, désormais membre du G20 !!!
Erdogan est fier de sa religion et le prouve ici:
https://www.youtube.com/watch?v=Gxc2UmUjPdw

la France vous veut du bien. continuez ...
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Posté le 25/12/2019 16:07:33
Erdogan et le tète de turc!
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Posté le 25/12/2019 15:12:17
ya3mel fi talla 3ala mazr3a mte3ou .
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Posté le 25/12/2019 13:24:53
le visage de l'i5chidi dit tout
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Posté le 25/12/2019 13:21:43
Visite de très mauvais œil... attention è ce criminel complotteur.. protégez la libye!

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Posté le 25/12/2019 13:21:43

Le Président turc, Recep Tayyip Erdoğan est arrivé, ce mercredi 25 décembre, à Tunis pour une visite d'un seul jour, a annoncé la Présidence de la république.

Alors que la Présidence de la république n'a rien communiqué sur les raisons de cette visite inopinée du Président turc, les observateurs confirment qu'elle est liée à la question libyenne et ce, suite à la mise en œuvre officiellement, jeudi dernier, mémorandum d'accord militaire signé le 27 novembre dernier entre Ankara et le Gouvernement d'union nationale (GNA), reconnu par l'ONU, siégeant à Tripoli et dirigé par Fayez el-Sarraj.

Ledit accord prévoit l'envoi d'une force de réaction rapide turque en territoire libyen si le GNA en fait la demande. Il permet notamment toutes sortes de transferts d'armes, d'aide militaire, de formation, de soutien technique, d'exercices conjoints et de partage de renseignements entre les deux pays, y compris le déploiement de troupes turques sur place pendant trois ans.

Les analystes semblent cependant sceptiques concernant le type d'interventions qu'Ankara peut effectuer en Libye.

O.E.O


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