ilboursa arabic version ilboursa

Les étudiants tunisiens en France exemptés de la hausse des frais d'in

Voir tous les sujets

Posté le 14/02/2019 18:38:34
J’ai écouté toute la conférence . Il n’a nullement était question de ça . Il y a juste eu un mot de Y. Chahed remerciant la faculté de Marseille qui a exempté les étudiants tunisiens des nouveaux droits d’inscription . E.P n’a absolument pas réagit et n’a strictement rien entendu . Donc c’est absolument faux . A moins que c’était hors conférence de Presse et hors caméras .
La vidéo complète de la conférence de presse est sur mon mur .
Répondre
Posté le 14/02/2019 16:32:18
source????
Répondre
Posté le 14/02/2019 15:47:36
Il serait souhaitable d'éclaircir: cette exemption concerne-t-elle uniquement les étudiants actuels (12.000) ou bien actuels et futurs? Merci
Répondre
Posté le 14/02/2019 15:47:36

Alors que le gouvernement français avait décidé en novembre 2018 de multiplier par 16 les frais de scolarité des étudiants extra-européens sur leur sol, le Premier Ministre français, Edouard Philippe, a annoncé ce jeudi 14 février 2019, lors de sa rencontre avec le Chef du gouvernement, Youssef Chahed, que les étudiants tunisiens seront totalement exonérés de cette mesure.

Il s’agit d’une discrimination positive consentie à la Tunisie et qui a été annoncée par Edouard Philippe à l’occasion de la visite qu’effectue le Chef du gouvernement, Youssef Chahed, en France du 13 au 15 février 2019. Ainsi, les 12.000 étudiants tunisiens en France seront exemptés de cette mesure qui avait créé une forte polémique en France, en Tunisie et dans tous les pays extra-européens car jugée contraire à la tradition d'équité et d’universalité de l'université française.

Baptisée « Bienvenue en France » la stratégie du gouvernement d’Emmanuel Macron devait concerner près de 100 mille étudiants étrangers dont 12 mille Tunisiens. Ces derniers, seront au final dispensés de l’augmentation des frais d’inscription dans les universités françaises.

Rappelons que la mesure annoncée par le Premier ministre français, Edouard Philippe, avait reçu des fins de non-recevoir dans plusieurs universités de taille comme l’Université de Clermont-Auvergne, de Rennes II, Toulouse II, Aix-Marseille, Angers, Le Mans, Poitiers, Nanterre, Lyon II et Caen. D’autres établissements français avaient fait état de leur réserve quant à l’application de la réforme du gouvernement Macron.


Répondre

Retour au forum Général