LSTR - la résurrection ou la mort clinique

kouya enna 9otlek:

150 milliards dettes donc 9adech bech ya3mel AK pour couvrir le déficit. au moin il lui faut 1/2 donc 75 milliards est ce que tu peux lever 50 milliards sur notre marché sachant que 25 sont dispo? fort prob ce que je vois c'est faire baisser encore l'action et diminuer nominale de la société pour faire AK alentour de 3 ou 4 d l'action et c'est possible de déviser nominale de la société comme a fait l'UIB dernièrement sinon personne ne soit motivé pour acheter l'action 08 02 2016

brabi wassaaa belik si mouad.
Nhebbou analyse mouch d réactions nerveuses .
le meilleur exple :le cas de sotetel

Maendou maya3mel mangement 150 millards dettes pour 6 millards RN si je me rappel de quel AK ils parlent les gens il faut des années pour que LSTR revoir les 5 d

Tant que management saket titre mechi fi thneyet sotetel il ne va pas logmtemps fi 3400

Oui c'est vraiment karakouse ce titre avec un management non professionnel et non responsable il jout avec l'argent des pp mais en fait boursa blech emmali le cmf est completement absent!!!

Sans la communication dune augmentation de capital le titre dirigera à 2 dt résultat déficitaire et mafamech devidende w management saket

Soyez méga-patient ou soyer méga-prudent, l'arbitrage est si difficile.

Le titre LSTR devient un énigme dans la bouse devant ce silence radio et incompréhensible des dirigeants de la société qui se contentent depuis l'année dernière de regarder et constater cette dégringolade spectaculaire du titre.

Peut-on dire que le titre est dans la phase de la mort clinique, ou peut-on dire qu'il est dans la phase de la résurrection.

Si on énumère les consignes de Warren Buffett en matière d'investissement en bourse, je peux affirmer que le titre est dans une phase de la mort clinique.

Par contre si j'analyse l'historique du titre dans la BVMT, je ne peux que dire qu'il va s'en sortir de cette phase et par conséquent il est en résurrection.

Ce dilemme n'est pas simple à trancher parce que La vérité est que personne ne peut prédire les creux et les sommets.

Au final, la réalité tirée de mon expérience en bourse depuis l'année 2000, c'est que vraiment stupide d'investir dans des entreprises avec à ses commandes une équipe des dirigeants non intègre.

Même si c'est toujours agréable de trouver des gens qui partagent mon avis, je sais très bien que cela ne m'indique pas si j'ai tort ou raison.