Le Liban en défaut de paiement pour la première fois de son histoire

Le Liban est différent de la Tunisie total importations: 20MUSD, total exportations: 4MUSD (réserves en devises de 30MUSD). Le défaut de paiement concerne les emprunts des banques Libanaises pas celles de l'Etat. La fin de la crise en Syrie et l'exploitation des gisements pétroliers de la méditerranée vont fermer l’œil des créanciers et n'aurait d'impact qu'à court terme (baisse de la notation à D).

La situation en Tunisie est plus grave car le pays est à l'arrêt depuis 10 ans et n'a pas de perspectives et de débouchées à l'export, le peu de phosphate et richesses naturelles sont difficilement exportées et les outils de production sont entravées par les tensions sociales.

Bla bla bla

Bou el 3ourrif ala halou !!

Au contraire j’ai raison pour les 4 valeurs que t’as cité
Siame est en baisse
Tunisair le premier objectif que j’ai donné a été atteint
Servicom est en hausse et elle va continuer
UADH en hausse dès la publication des EF
Sans compter les 212 objectifs atteints
W ken na9isset mil klem El feregh 5ir

@elinoja mew hkina kbal et à chaque fois tatla3 ghalet. UADH servicom siame tunisair w liste twila donc ça sert à rien bech nzidou

Celui qui a un problème avec servicom ne l’achète pas !!
Et celui qui est pessimiste garde ces prédictions pour lui !!
Au lieu de rassurer les gens vous sortez que des conneries

@ annou83 medem thot fi flousik fi servicom mefemma ken ilkhir hhh

2020 en tunisie

JE PENSE PAS

@analyse SVP arrêtez de dire des conneries

A QUAND LA TUNISIE

Le chef du gouvernement libanais a annoncé, ce samedi 7 mars 2020, que le pays n'était pas capable de rembourser les échéances de sa dette souveraine dans les circonstances actuelles. Il s'agit du premier défaut de paiement de l'histoire du Liban.

La dette du Liban, qui aurait dû rembourser 1,2 milliard d'Eurobonds le 9 mars, a désormais dépassé les 170% de son PIB pour atteindre plus de 90 milliards de dollars et plus de 40% de sa population sera bientôt sous le seuil de pauvreté selon le chef du gouvernement.

" Comment pouvons-nous payer les détenteurs d'obligations étrangers, quand les Libanais ne peuvent même pas retirer leur argent des banques ", s'est justifié le premier ministre libanais.

La décision de ce dernier devrait susciter la désapprobation des banques et pourrait également pousser les agences internationales de notation à sanctionner le pays, en abaissant sa note souveraine à " D ", pour défaut de paiement.

O.E.O